Collectes annulées
A Rezé (comme dans les 4 autres communes du pôle Loire, Sèvre et Vignoble, ainsi que les 5 communes du pôle Sud-Ouest), les tournées s’effectuent, depuis le 1er juillet 2019, les matins, dès 6h.
Les jours de collecte et les fréquences de passage restent les mêmes.
Un changement sensé apporté un peu plus de souplesse et de sécurité aux équipes parfois obligées de terminer l’après-midi la collecte démarrée le matin.
Cependant, depuis la rentrée de septembre, les équipes sont de plus en plus confrontés à des automobilistes peu scrupuleux, dont l’arrêt ou le stationnement anarchique des véhicules complique la réalisation du service de collecte, quand il ne l’empêche pas purement. Et les premiers à en être pénalisés en sont les riverains, qui voient leurs poubelles non ramassées.
Parmi les points noirs à Rezé pour les camions poubelles : les quais de l’échouage et de la verdure, la rue des Chevaliers, la Maillardière ou encore la rue des Couteaux, pour n’en citer que quelques-uns.
INFORMATION ET VERBALISATION
La Ville en appelle donc au civisme de chacun et rappellera les règles de savoir-vivre en matière de stationnement gênant ou non autorisé sur la voie publique par la pose d’un document sur le(s) véhicule(s) concerné(s).
Cependant, en cas de nécessité, les services de police et la fourrière seront sollicités pour libérer l’accès. Aux frais du propriétaire du véhicule bien évidemment.
STATIONNEMENT GENANT : CE QU’IL VOUS EN COUTERA ?
Le motif de l’amende est un peu à rallonge, comme les euros qui vont sortir de votre poche si vous avez le mauvais goût d’être pris pour « stationnement de véhicule gênant l’accès à un autre véhicule ou son dégagement » (art. R417-10 du code de la route). Il vous en coutera 35€.
Mais cela peut être davantage si votre voiture est embarquée en fourrière, cela peut monter à 99,10 € + 4,20 € par jour de gardiennage.
Si vous voulez faire plaisir aux ripeurs et à votre portefeuille, vous savez ce qui vous reste à faire. Allez-vous garer un plus loin.
Et n’oubliez pas que s’ils ne peuvent accéder, les pompiers non plus. Et pour eux, la liberté d’accès est parfois une question de vie ou de mort.